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Par Sam's • 13 mar, 2015 • Catégorie: EXPLORATIONS DE CONSCIENCE, LES PLUS POPÜLAIRES

LE RÔLE DE LA GLANDE PINÉALE

Il est bien connu, dans la tradition ésotérique occidentale, que la glande pinéale est associée au « fonctionnement » de facultés psychiques. Voici, à ce sujet, ce que Alain Moreau a écrit dans son premier livre (« Communications interdimensionnelles », JMG éditions, 2007) :

« Dans la littérature ésotérique, les chakras de la gorge, du front et du dessus de la tête, dont les extériorisations physiques sont la thyroïde, la glande pituitaire et la glande pinéale, sont impliqués dans le processus de la médiumnité. »

PTAH-CHAKRAS-PT-DE-JONCTION-PINEALE

Jack Schwarz (fondateur et président d’Aletheia Foundation à Ashland dans l’Oregon) s’est référé à l’intensification des échanges énergétiques entre les énergies arrivant dans les glandes pinéale et pituitaire, via des courants énergétiques subtils pénétrant dans la tête dans la région de la fontanelle, et les énergies de la région pelvienne associée au « chakra sacral ».

Le spirite Sergio Machado a rédigé un texte sur la glande pinéale, qui nous intéresse ici directement. On le trouve sur le site www.spiritisme.net. Je donne ci-dessous les passages directement reliés au sujet abordé dans cette page.

« Aussi petite qu’un pois, et de la forme d’une pomme de pin, d’où elle tire son nom, la glande pinéale est considérée comme étant un troisième oeil, pour avoir la même structure de base de nos organes visuels. Jusqu’à il y a peu, on croyait qu’il s’agissait d’un organe atrophié, aux fonctions indéfinies, d’un oeil non développé. Mais cela a néanmoins éveillé l’intérêt des scientifiques qui ont mis en lumière des fonctions en relation avec la physique et les phénomènes paranormaux…

L’épiphyse neurale, ou glande pinéale, ou tout simplement pinéale, est une petite glande endocrine située à proximité du centre du cerveau. Nonobstant le fait que ses fonctions soient particulièrement discutées, il n’y a toutefois pas le moindre doute qu’elle joue un rôle important, tant au niveau de la régulation de ce que l’on appelle les cycles circadiens, que sont les cycles vitaux (principalement le sommeil), qu’au niveau du contrôle des activités sexuelles et de la reproduction.

Depuis René Descartes au XVIIe siècle, qui affirmait que l’âme humaine se situait en elle, la glande pinéale était considérée comme étant un organe possédant des fonctions transcendantales. Au-delà de Descartes, l’écrivain anglais écrivant sous le pseudonyme de Lobsang Rampa s’est dédié, parmi d’autres, à l’étude de cet organe.

Les défenseurs des capacités transcendantales de cet organe le considèrent comme étant une antenne. La glande pinéale porte, dans sa constitution, des cristaux d’apatite. Selon une théorie ces cristaux vibreraient en fonction des ondes électromagnétiques captées, ce qui expliquerait la régulation du cycle menstruel d’après les phases de la Lune, ou la capacité d’orientation des hirondelles au cours de leurs migrations (elles captent les champs électromagnétiques de la Terre). Chez l’être humain elle serait capable d’interagir avec d’autres zones du cerveau comme, par exemple, le cortex cérébral, qui serait capable de déchiffrer de telles informations. Une telle interaction serait moins développée chez les autres animaux. Cette théorie prétend expliquer les phénomènes paranormaux tels que la clairvoyance, la télépathie et la médiumnité.

Depuis Allan Kardec, au XIXe siècle, la doctrine spirite s’attache à s’expliquer à ce propos. Dans l’oeuvre spirite « Missionnaires de la lumière », dictée par l’esprit André Luiz au travers de la psychographie du médium Francisco Candido Xavier, l’épiphyse est décrite comme étant la glande de la vie spirituelle et mentale. Pour la doctrine spirite l’épiphyse est un organe de haute expression pour le corps éthéré. Elle préside aux phénomènes nerveux de l’émotivité, due à son ascendance sur tout le système endocrinien, et joue un rôle fondamental dans le domaine sexuel. Dans ce même ouvrage André Luiz écrit aussi que l’épiphyse est liée à la pensée spirituelle au travers des principes électromagnétiques du champ vital, que la science formelle ne peut pas encore identifier, commandant les forces du subconscient sous la détermination directe de la volonté.

Selon la vision ancestrale des hindous c’est le principal organe du corps, possédant deux chakras (centres d’énergie) responsables du développement extra physique pour être des récepteurs et des transmetteurs de l’énergie vitale : le chakra du troisième oeil, au centre du front au-dessus de la hauteur des yeux, et le chakra coronaire, bien supérieur, lui aussi situé dans la tête.

Certains scientifiques ont constaté que, à l’image d’une antenne, la glande pinéale était capable de capter les radiations électromagnétiques de la Lune, les radiations électromagnétiques venues du Soleil, et même d’éveiller la production de certaines substances « neurotransmettrices » qui stimulent l’activité physique et mentale. C’est aussi la glande pinéale qui active la production des hormones sexuelles au début de la puberté, initiant ainsi le cycle de la reproduction humaine.

Et il y a encore d’autres fonctions particulièrement intrigantes en lien avec ce point situé près du centre du cerveau : la glande pinéale est capable de capter les champs électromagnétiques non seulement de cette dimension, dans laquelle nous vivons, qui est la troisième, mais aussi des autres dimensions de l’univers, permettant ainsi d’accéder aux champs spirituels et subtils. D’après la théorie des supercordes, dans le cadre de la physique quantique, il existerait pas moins de onze dimensions différentes dans l’univers, et une communication entre elles serait possible. En d’autres termes la glande pinéale serait capable de détecter les dimensions invisibles aux yeux ordinaires, et ce petit radar serait lié aux phénomènes tels que la clairvoyance (voyance d’événements non encore advenus), la télépathie (communication au moyen de la pensée), et la capacité d’entrer en contact avec d’autres dimensions (médiumnité)

. Au Brésil l’un des plus grands chercheurs de ce domaine est le neuropsychiatre Sergio Felipe de Oliveira, titulaire d’un magistère en sciences de la faculté de médecine de l’université de São Paulo, directeur de la clinique « pineal mind » de São Paulo. Il a également étudié la physique durant quatre ans à l’université de São Paulo, au sein de laquelle il a travaillé sur les théories des champs d’ADN et, compte tenu de sa formation en matière de génétique du coeur, il en a déduit que les gènes ne sauraient fonctionner sans qu’un esprit n’induise leur fonctionnement (embryogenèse).

La médiumnité étant une faculté de perception sensorielle, elle a besoin d’un organe qui capte et d’un autre qui interprète. L’hypothèse du Dr Sergio Felipe de Oliveira est que « la glande pinéale est un organe sensoriel de la médiumnité, semblable à un téléphone portable, qui capte les ondes du spectre électromagnétique provenant de la dimension spirituelle, le lobe frontal procédant au jugement critique du message, avec l’aide des autres zones encéphaliques”. »

« Le Dr Sergio Felipe de Oliveira a disséqué divers cadavres et a pu vérifier qu’aucune glande pinéale n’est semblable à une autre. Il a coupé une glande pinéale au milieu, l’a soumise au microscope électronique et a pu vérifier qu’il y a diverses structures couvertes par des enveloppes formées de tissu conjonctif. La glande pinéale est plongée dans le troisième ventricule du liquide céphalo-rachidien et, sous la pression des vases communicants, ces structures souffrent d’une pression semblable à celle que le cerveau éprouve, ces structures ayant un format semblable à celui du cerveau.

Ces structures sont des capsules, en cristaux d’apatite. Mais pourquoi y a-t-il des cristaux dans la tête ?

Auparavant on pensait que la glande pinéale dégénérait avec l’âge et qu’elle n’avait pas la moindre fonction, mis à part faire émerger la sexualité jusqu’à l’âge de 13/14 ans pour ensuite perdre toute fonction et se calcifier. De fait, un processus biominéral affecte la glande, la faisant se calcifier. Pour sa thèse de doctorat de l’université de São Paulo, le Dr Sergio Felipe de Oliveira a fait des recherches sur les cristaux de la glande pinéale au moyen de la diffraction des rayons X. Ce travail lui a permis de vérifier qu’elle ne se calcifiait pas mais donnait lieu à la formation de structures organisées. Mais alors, quelle serait donc la fonction de ces structures à l’intérieur de l’organisme ?

L’étude par la diffraction des rayons X, et par l’emploi d’autres techniques, lui a permis de découvrir l’existence des cristaux d’apatite. La tomographie par ordinateur et la résonance magnétique furent également utilisées. Il a ainsi pu observer qu’une microcirculation sanguine maintenait métaboliquement les cristaux actifs et vivants. Ces cristaux donnent à la glande une structure semblable à celle d’une caisse de résonance : l’apatite comporte de nombreux électrons à sa superficie et repousse le champ magnétique.

Lorsqu’un champ magnétique s’approche de la glande, il touche l’un des cristaux qui ricoche sur un autre, et ainsi de suite, jusqu’à ce que le champ soit fait prisonnier. Plus une personne dispose de cristaux, plus elle aura de possibilités de capter les ondes électromagnétiques. Les médiums ostensifs ont beaucoup de cristaux.

L’apatite est un minéral que l’on trouve aussi dans la nature sous la forme de pierres taillées. Les recherches montrent que ce cristal capte les champs électromagnétiques. Et le plan spirituel agit au moyen de ces champs. L’intervention divine s’effectue toujours en obéissant aux lois de la nature. Les médiums, qui sont des personnes capables d’entrer en contact avec d’autres dimensions spirituelles, ont une plus grande quantité de cristaux d’apatite dans leur glande pinéale.

Or, personne ne peut augmenter ou diminuer cette concentration de cristaux, c’est là une caractéristique biologique, au même titre que la couleur des yeux ou des cheveux. La glande pinéale est un puissant récepteur, mais ce sont d’autres zones du cerveau qui décodent les informations reçues, tel que le cortex frontal cérébral. Sans cette interaction les informations reçues ne pourraient pas être comprises. C’est pourquoi les animaux ne peuvent pas les décoder : les autres parties de leur cerveau n’ont pas cette attribution.

La glande pinéale capte ainsi des vibrations du spectre électromagnétique traduisant nos émotions, nos pensées ou celles des esprits, voire celles d’autres personnes au moyen de la télépathie. Elles sont archivées et elles réagissent au sein du cerveau de diverses manières. C’est sans doute pour cette raison que les hindous considèrent que la glande pinéale est la glande de la vie mentale et du contact avec l’au-delà…

Les poissons aussi ont une glande pinéale. Alors que les animaux ont une tête translucide, leur glande pinéale est faite de cellules de rétine, dans la mesure où la glande pinéale et les yeux ont la même origine.

Notre tête est imperméable à la lumière, alors que la glande pinéale est atteinte par la lumière au travers de la rétine des yeux. Une partie de la lumière captée par les yeux forme une image en arrivant au lobe occipital où l’image est formée. Quant à l’autre partie de la lumière, elle régulera les rythmes de notre organisme (ce sont les effets non visuels de la lumière), par exemple les heures auxquelles les hormones de croissance doivent être produites. Tout le rythme est coordonné par la glande pinéale.

Il y a aussi des hormones qui sont sagement régies par la Lune : toute grossesse saine dure neuf mois, ce qui est exactement la durée de l’année lunaire. Mais comment l’organisme accompagne-t-il cela ainsi ? C’est parce que la glande pinéale capte les émissions de la Lune, et cela se répercute dans toute l’hormonologie régie par la Lune, qui régule les hormones sexuelles reproductrices.

Au cours des cycles de veille et de sommeil, c’est l’oeil qui capte la lumière et qui informe l’organisme de ce qu’il fait jour ou nuit. La nuit, la production d’hormones augmente sous l’effet de la glande pinéale et induit l’état de transe par dédoublement car, si nous allons dormir, il y aura dédoublement et sortie du corps.

La glande pinéale régule ainsi ce rythme en accord avec les commandes, que l’on appelle « zeitbergers ».

En 1988, Vaul Heart, un chercheur accompagné de collaborateurs, a découvert que la glande pinéale était un élément sensoriel qui convertissait l’onde magnétique en neurochimie. Il y a divers facteurs à prendre en compte : 1) Si la glande pinéale coordonne le rythme, alors elle est confrontée au temps. C’est l’unique organe du corps qui est confronté à la quatrième dimension (l’espace-temps). C’est donc l’organe qui est confronté à une autre dimension. 2) La glande pinéale est un élément sensoriel magnétique du fait des cristaux qui sont diamagnétiques, d’où la possibilité d’un lien par contact magnétique lors de la transe médiumnique.

Lorsque quelqu’un dit qu’il a reçu un « Esprit », cela ne signifie pas que l’Esprit soit venu à l’intérieur de lui-même (tout comme le locuteur ne se trouve pas à l’intérieur de la radio).

Le Dr Sergio Felipe de Oliveira a fracturé un cristal et s’est aperçu qu’il présentait des lamelles concentriques, à l’image d’un oignon, avec un modèle ressemblant à celui d’un tronc d’arbre. Plus on est âgé, plus on a de fines lamelles… Ce n’est donc pas la quantité de cristaux d’apatite qui indique l’âge, mais le nombre de lamelles qu’un cristal a.

Il y a des personnes dont les cristaux ne sont pas visibles à la tomographie (ce sont des personnes qui entrent facilement en transe de dédoublement [sortie hors du corps]), mais qui captent bien la « psychosphère ». Elles sentent alors ce que les autres personnes sentent et sont affectées lorsqu’il y a beaucoup de gens : elles captent un grand nombre d’informations.

Ces informations sont enregistrées par le thalamus (zone du cerveau qui enregistre les activités sensorielles). La personne ne comprend pas beaucoup les choses qu’elle capte, mais son corps y réagit. Lors de ses états de dédoublement la personne développe une plus grande activité : si elle capte ce qu’autrui sent alors, elle aura du mal à distinguer ce qui est son sentiment du sentiment qu’elle a pu capter. Des personnes peuvent alors être confuses quant à leur propre identité. Ce sont des personnes très autocritiques, anxieuses, dépressives. » (S. Machado)

« Chacun dispose d’une porte d’entrée vers le monde spirituel au travers de l’hypothalamus, des hormones et des enzymes qui nous lient ici, et d’une porte de sortie qu’est le cône qui va de la glande pinéale au lobe frontal.

Nos cellules comportent des mitochondries à destination desquelles se rend l’oxygène que l’on respire. Cet oxygène sert à produire de l’énergie au contact du métabolisme. Une partie de cette énergie s’ajoute à l’énergie vitale qui vient de l’oxygène. (Lorsque la plante capte l’oxygène pour la photosynthèse, elle capte aussi la lumière du Soleil, et la lumière du Soleil apporte le ”prana”, l’énergie vitale. La plante accouple l’oxygène au ”prana”.) Lorsque l’on respire de l’oxygène on inspire déjà le ”prana”, le ”prana” pénétrant à l’intérieur de la mitochondrie pour se joindre à la production calorique et à la formation de l’ectoplasme.

L’ectoplasme est donc le produit du ”prana” et est une énergie spirituelle et métabolique (biologique). C’est pourquoi l’ectoplasme est une énergie qui permet la communication entre le monde spirituel et le monde corporel, du fait de ses deux sources.

Les cristaux de la glande pinéale sont formés à partir de la mitochondrie. » (S. Machado)

Voici ce qu’écrit Michel Coquet dans « Le troisième œil » (éditions Alphée, 2008) :

« Cette relation entre la glande pinéale et les états mentaux a été étudiée par le Dr Rick Strassman, psychiatre spécialisé dans les recherches psychédéliques, qui explique que selon ses découvertes la glande pinéale « est plutôt active pour synthétiser des composés relatifs à la sérotonine, un important neurotransmetteur dans le cerveau. Les neurotransmetteurs sont des messagers chimiques permettant la communication entre les cellules nerveuses individuelles.

La plupart des drogues psychédéliques typiques telles que le LSD, la mescaline, la psilocybine et le DMT, sont actives dans les régions du cerveau également affectées par la sérotonine. De plus, la plupart de ces drogues sont similaires dans leur structure chimique à la sérotonine. »

Le même auteur se rapproche étonnamment des thèses de la science occulte lorsqu’il écrit que « la lumière, les yeux et le « troisième œil » ou glande pinéale forment une triade qui contrôle directement et régule la conscience normale ou altérée, de même que plusieurs fonctions corporelles… ces trois facteurs sont aussi directement reliés à, ou impliqués dans, les états mystiques et l’expérience psychédélique. » (2)

Faisant référence à la tradition occulte de l’histoire de l’humanité, Michel Coquet fait cette observation :

« Lorsque la glande pinéale servait de troisième œil aux races géantes de l’Antiquité, elle était étroitement rattachée au système nerveux grand sympathique (associé au corps éthéro-astral). L’Homme voyait et communiquait tout naturellement avec les mondes intérieurs, ainsi qu’avec leurs habitants. » (3)

Il note que si la glande pinéale est essentielle à l’éveil du troisième œil, la glande pituitaire l’est aussi.

« Le troisième œil ne doit en aucun cas être confondu avec la faculté de percevoir le monde éthérique, faculté purement physiologique. Il ne doit pas non plus être considéré comme l’organe de la voyance astrale ou de la clairvoyance mentale. De même, le troisième œil ne peut être identifié à la glande pinéale, bien qu’il ait avec cette glande une affinité spirituelle certaine.

Il n’est ni l’ajna chakra ni son expression matérielle, la glande pituitaire, mais le résultat de l’interaction magnétique entre les deux centres physiques de la tête, la glande pituitaire et la glande pinéale. Précisons enfin qu’il n’est pas inhérent à la structure naturelle de l’Homme, qu’il est de nature éthérique et n’apparaît que chez les disciples d’un haut degré d’évolution, atteignant l’apothéose de son développement au moment de la Transfiguration. » (4)

On fera le parallèle avec cette note de fin de page d’un livre d’Anne Givaudan et de Daniel Meurois, « De mémoire d’Essénien » :

« On dirait aujourd’hui que le corps pituitaire déclenche un phénomène magnétique croissant qui vient frapper la glande pinéale ; de là naît le troisième œil. » (5)

[…]

On peut penser que le chakra frontal, et donc la glande pinéale qui est son extériorisation physique, est impliqué dans un processus permettant de « brancher » la conscience de l’individu sur d’autres niveaux de réalité que la réalité en 3 D.

Le troisième oeil cover book

Des substances telles que l’ayahuasca et la DMT, en agissant sur certains mécanismes neurologiques et chimiques en relation avec la sécrétion de glandes comme l’épiphyse (et l’hypophyse), peuvent provoquer chez l’individu des états modifiés de conscience appartenant au vaste champ des OBE : sorties hors du corps, sensations de type EMI, états mystiques (« illumination », « renaissance »).

Dès lors, les perceptions ressenties en EMC (sous l’effet de l’ayahuasca ou de la DMT) n’ont rien d’hallucinatoire, mais permettent plutôt à l’individu d’entrer en contact avec des entités diverses existant sur un plan éthérique ou « astral », un niveau fréquentiel ou « dimensionnel » distinct du plan physique (le monde en 3 D).

Listons les différentes perceptions et les différents êtres rencontrés par les volontaires sous l’effet de la DMT. Nous avons :

des sensations de sorties hors du corps, et des visions évoquant des EMI (ou NDE) et des états mystiques,

des récits s’apparentant à des « enlèvements à bord d’OVNIs » et à des contacts avec des entités extraterrestres.

Je viens d’« expliquer » les visions de type sortie hors du corps et EMI. Mais comment se fait-il que des volontaires aient pu aussi interagir avec des entités qui s’apparentent tout à fait à des formes de vie extraterrestres ?

Dans mon modèle théorique il est précisé qu’il existe deux types de visiteurs de l’espace : des êtres physiques en provenance d’autres systèmes stellaires, et des êtres éthériques originaires de niveaux dimensionnels distincts du niveau physique de leurs planètes d’origine (de notre système solaire et d’ailleurs). Il est par conséquent tout à fait possible que des personnes en EMC puissent interagir avec des consciences extraterrestres de type « éthérique », voire, peut-être, de type physique, si l’on admet, dans cette dernière éventualité, la possibilité pour des êtres physiques de « voyager » sur plusieurs niveaux dimensionnels.

Je note l’existence, dans « Les Chroniques du Girku » d’Anton Parks, d’êtres physiques pouvant se déplacer, grâce à un appareil dénommé« Gurkur » (un objet sphérique permettant le déplacement dans les trois premières dimensions), de la dimension KI(la 3 D) en KUR-GAL (deuxième dimension) et en KUR-BALA, la plus basse des dimensions, celle où les Musgir aimaient parfois se terrer. (Voir : « Adam Genisis », éditions Nouvelle Terre, 2007.) Comment cela peut-il être possible ? Je n’ai pas la réponse à cette question. Je sais aussi que certains êtres éthériques, comme les Vénusiens, peuvent se transférer, avec leurs vaisseaux de lumière, dans notre monde tridimensionnel, un processus de transfert que l’on peut qualifier de « translation dimensionnelle », cette dernière impliquant aussi la réintégration à l’état éthérique originel.

[…]

Décorporation « forcée » et émotions humaines

Dans mon modèle théorique je soutiens la thèse selon laquelle certains êtres d’origine extraterrestre (de type physique ou de type éthérique) peuvent provoquer une extériorisation de la conscience (ou du corps astral) chez leurs « victimes », certaines « abductions » étant alors, indiscutablement, de nature « psychique ». Or Jean Sider cite plus haut un cas relaté par Rick Strassman : Une volontaire eut l’impression qu’une puissante force la faisait sortir, à une grande vitesse, hors de son corps.

Certes, les entités ressemblaient notamment, dans ce cas, à des « clowns », mais le même phénomène peut clairement être provoqué par des entités d’origine réellement extraterrestre. Si, comme le prétend la source « sirienne » de Patricia Cori, les « Gris » peuvent en effet changer de niveau dimensionnel, on comprend que certaines « abductions » puissent être de nature « psychique » et impliquer donc des décorporations, la conscience (ou le corps astral) de la « victime » étant transférée sur le plan où se trouvent les êtres à l’origine de l’« enlèvement » !

Selon Jean Sider les entités semblent toutes attirées par les émotions humaines, qu’il s’agisse d’entités du spiritisme (d’après Stanislas de Guaïta) ou d’« ufonautes ». Il ajoute que ceci ne relève peut-être que d’une apparence destinée à susciter une croyance fallacieuse, ces entités étant présentées, par Jean Sider, comme étant « expertes dans le domaine de la tromperie ».

Dans mon modèle théorique, seuls certains types d’entités peuvent être suspectés de « se nourrir des émotions humaines » : certaines entités du « bas Astral » et certains « ufonautes ». Ces derniers sont ceux qui sont impliqués dans certaines « abductions ». On ne peut que spéculer sur la raison, chez ceux-ci, de ce lien avec les émotions humaines. Et, bien sûr, toutes les entités ne sont pas « expertes en tromperie », contrairement à ce qu’insinue Jean Sider.

Quant aux « fées » qui, autrefois, « enlevaient » des gens, j’ai expliqué que nos ancêtres avaient confondu des êtres du monde elfique (entités éthériques associées aux « éléments » de la nature) avec les véritables responsables des « enlèvements » de l’époque : des êtres (de petite taille) d’origine extraterrestre ou souterraine.

L’ayahuasca et les aliens

L’ayahuasca est un breuvage à base de lianes consommé traditionnellement par les chamanes des tribus indiennes d’Amazonie.

Pablo Amaringo cover book

Voir aussi : Shamanisme, ayahuasca, aliens et abductions

Le peintre et chamane péruvien Pablo César Amaringo (1943-2009) avait publié « Ayahuasca Visions, the Religious Iconography of a Peruvian Shaman », un recueil de ses peintures représentant des visions obtenues pendant des cérémonies avec l’ayahuasca. L’ouvrage fut réalisé en collaboration avec l’anthropologue Luis Eduardo Luna. Les vaisseaux extraterrestres occupent une large part de ses motifs.

Lorsque la guérisseuse qui avait soigné sa soeur lui avait fait prendre de l’ayahuasca, Pablo avait vu une immense soucoupe volante dont le bruit effrayant l’avait paniqué (Vision 7). Don Manuel Amaringo, le frère aîné de Pablo, a raconté une histoire similaire. Les larmes aux yeux, il lui a raconté que le chant (Icaro) qu’il utilisait le plus souvent pour soigner des gens, lui avait été donné par une fée nommée Altos Cielos Nieves Tenebrosas, qui était venue à bord d’un grand vaisseau bleu.

Bien qu’il ait souvent représenté des vaisseaux, Pablo n’en parlait pas très volontiers. Selon lui, ces véhicules peuvent adopter toutes sortes de formes, ils sont capables de se déplacer à des vitesses prodigieuses et de voyager sous les eaux et la terre. Les êtres qui les utilisent sont comme des esprits, leurs corps sont plus subtils que les nôtres, ils ont la faculté d’apparaître et de disparaître à volonté. Ils font partie de civilisations extraterrestres avancées qui vivent en parfaite harmonie. De grandes civilisations amérindiennes telles que les Mayas, les Tiahuanacos et les Incas, étaient en contact avec ces êtres.

Pablo apprit, pendant ses « voyages » avec l’ayahuasca, que les Mayas connaissaient ce breuvage, qu’ils sont partis vers d’autres mondes par ce moyen, et qu’ils sont sur le point de revenir. Il expliquait que certaines des soucoupes volantes qu’on observe aujourd’hui sont pilotées par des sages mayas.

L’historien finlandais Martti Parssinen a signalé un texte écrit par le Père Francisco de San José. Ce texte raconte une curieuse manifestation observée par des missionnaires au confluent des rivières Pozuzo et Ucayali, le 8 août 1767. Une nuit, le Père Francisco et ses compagnons étaient encerclés par un groupe de Conibos hostiles qui leur lançaient des flèches, et ils tentaient de se défendre au pistolet :

« Pendant cette bataille il s’est passé un évènement mémorable. Un globe de lumière plus brillant que la Lune a survolé la ligne des Conibos, éclairant toute la zone. Je ne sais si les Indiens ont perçu l’étrangeté de la situation, mais ils ont cessé de nous tirer des flèches… » (San José 1767 : 364)

Les extraterrestres sont en contact avec les « nina-runas » (peuple du feu) qui vivent dans les volcans. Ils communiquent entre eux par télépathie. On peut voir ces êtres et leurs véhicules grâce à l’ayahuasca, mais peu de pratiquants ont établi un contact avec eux. Seuls quelques élus bénéficient des chants de pouvoir que ces extraterrestres enseignent, et c’est d’eux qu’ils reçoivent des informations utiles pour soigner leurs patients. En septembre 2010, le chamane Guillermo Arevalo a témoigné dans le même sens lors d’une émission sur « Radio Ici & Maintenant ! ».

L’anthropologue Françoise Barbira-Freedman, qui a mené de nombreuses recherches parmi les Lamistas de la province de San Martin, a raconté que les visions de vaisseaux étaient fréquentes pendant les cérémonies d’ayahuasca.

Plusieurs photos des peintures de Pablo ayant été montrées à Don Manuel Shuna (l’oncle de Pablo), âgé de plus de 90 ans, et l’attention de ce dernier ayant été attirée sur la représentation d’une soucoupe volante, Don Manuel Shuna a confié, avec beaucoup d’émotion et un certain stress, qu’il avait été harcelé, pendant les deux dernières années, par des êtres qui sortaient de telles machines. Selon lui, ces gens se déplacent légèrement au-dessus de la surface des eaux. Don Manuel explique que leurs machines font environ 50 mètres de long, avec des lumières qui dissipent la nuit. Au repos, elles ne touchent jamais le sol ni l’eau, mais se maintiennent en suspension dans l’air. Parfois, les êtres à bord de ces machines renversent des arbres qu’elles finissent par emporter.

Don Manuel ajouta :

« Ils savent quand je vais boire de l’ayahuasca. Ils approchent et chantent toutes sortes de chants, de même que les icaros que je connais. Ils savent également comment prier.

Ils sollicitent mon amitié, parce qu’il y a des choses qu’ils ne savent pas encore. Ils aimeraient m’emmener avec eux, mais je refuse de les accompagner parce qu’ils se mangent entre eux.

Ils ont essayé de m’effrayer en faisant bouger la terre, ou en faisant tomber de grands arbres. Ils m’ont presque rendu fou. Mais ils ne s’approchent plus de moi, parce que je leur ai soufflé du « mapacho » (tabac de purification). »

Il est bien sûr très difficile d’apprécier ce témoignage.

« Le fait de voler est l’un des thèmes parmi les plus récurrents dans toutes les pratiques chamaniques. Le chamane peut se métamorphoser en un oiseau, en un insecte ou en un être ailé. Il peut être transporté par un animal ou une entité vers d’autres dimensions.

Pour exprimer l’idée de voler, les chamanes contemporains se servent parfois de métaphores empruntées à des innovations récentes. C’est pourquoi il n’est pas étrange que le thème des Ovnis, lequel fait partie de l’imagerie moderne - peut-être sous l’angle proposé par Carl Gustav Jung (1959), ou comme une expression archétypale relative à notre époque -, soit utilisé par les chamanes pour signifier le ravissement spirituel vers d’autres réalités.

Les soucoupes volantes, les entités extraterrestres et les civilisations intergalactiques que représente Pablo Amaringo dans ses peintures, ne doivent pas nécessairement être considérées comme des représentations inhabituelles ou étrangères au chamanisme amazonien ; elles peuvent être des résurgences de thèmes anciens.

Les récits de voyages chamaniques sous l’influence de l’ayahuasca et autres plantes psychotropes, même issus de tribus amazoniennes culturellement isolées, intègrent également l’idée qu’un chamane monte vers les cieux où il fréquente des entités célestes. Dans certains cas les chamanes expliquent que ces créatures spirituelles viennent se manifester sur le lieu de la cérémonie. (Cf. Gomez, 1969 ; Reichel-Dolmatoff, 1971 : 43, 173 ; Vickers & Plowman, 1984 : 19 ; Ramirez de Jara & Pinzon, 1986 : 173-4 ; Chaumeil, 1982 : 40 ; Cipoletti, 1987 ; etc.)

Dans la mythologie Cuna et les récits qui concernent les héros traditionnels, il y a de nombreuses références à ces soucoupes volantes. Cette notion s’est étendue au folklore, mais leurs descriptions concernent également des manifestations dans la vie courante. (Gomez, 1969 : 67)

Jacques Vallée (1979) et Bertrand Méheust (1988) ont souligné le parallélisme qu’on peut constater entre les thèmes folkloriques, les voyages chamaniques et les « abductions » par des soucoupes volantes. De même que les autres parties du monde, l’Amazonie d’aujourd’hui est constamment bombardée par de nouvelles images et des symboles venus d’ailleurs, qui s’intègrent rapidement aux croyances traditionnelles.

D’un autre côté, la connexion entre les Ovnis et la DMT a été amplement soulignée par Terence McKenna, lequel a démontré statistiquement qu’un grand nombre de personnes ayant absorbé 15 mg de psilocybine, de manière « récréative », rapportent un contact extraterrestre. Cette dose est suffisante pour déployer tout le spectre des effets psychédéliques (cf. McKenna, 1984, 1989). Des occidentaux ont témoigné dans le même sens après avoir pris de l’ayahuasca, du psilocybe cubensis ou de la diméthyltryptamine (DMT). Certaines recherches tendent à montrer que la DMT est produite naturellement en très petites quantités par la glande pinéale, connue également sous le nom d’épiphyse. »

L’auteur de ce texte conclut qu’ainsi que Jacques Vallée l’a fait remarquer (1979), les OVNIs « sont des manifestations physiques qu’on ne peut appréhender sans leurs références psychiques et symboliques ». Le thème des OVNIs, ajoute l’auteur du texte, « ne devrait pas être ignoré des anthropologues cognitifs, de la psychologie des profondeurs et de tous ceux qui s’intéressent aux mythologies » de l’Homme d’aujourd’hui. Encore faut-il, ajouterai-je, correctement appréhender la nature réelle des « contacts psychiques » établis, avec des entités extraterrestres, par le biais de l’utilisation de substances comme l’ayahuasca et la DMT, ce que je me suis efforcé de faire dans ce texte.

(Source : ovnis-usa)

Terence McKenna

En 1987, Terence McKenna a abordé le sujet des OVNIs lors du symposium « Angels, Aliens and Archetypes » (auquel participait également Jacques Vallée) :

« Comment pourrions-nous comprendre l’électricité si notre approche consistait à nous placer au sommet d’une colline en attendant d’être frappés par la foudre ?

Il me semble que nous avons cette même attitude vis-à-vis des Ovnis. Nous avons très peu d’éléments pour évaluer ce que représente vraiment ce phénomène.

Une première possibilité, qui me semble dépassée, serait qu’il s’agisse d’un phénomène naturel, comme des forces piézoélectriques ayant la capacité d’interagir avec le subtil dispositif électro-chimique du système nerveux humain, afin de créer une sorte d’hallucination, une transfiguration ou un ravissement.

Plus concrètement, ça se ramène à trois questions : Est-ce que nous y sommes pour quelque chose ? Sommes-nous visités, ou bien y a-t-il un autre occupant dans la maison dont nous ne serions pas conscients ?

J’ai eu des expériences de contact, j’ai observé un Ovni de très près, il m’est arrivé de rencontrer des entités d’autres dimensions, mais ça ne m’a pas déterminé à adopter une position tranchée. Malgré l’attention extrême que je portais à cette observation, il ne me semble pas possible de conclure parce qu’il y a toujours des éléments qui contredisent les autres hypothèses.

Jacques Vallée n’est pas revenu là-dessus tout à l’heure, mais je me souviens que dans son ouvrage, le « Collège invisible », il avait insisté sur l’absurdité qui fait partie des expériences de contact, où le récit du contacté contient le plus souvent des détails qui nous sembleront parfaitement ridicules. C’est comme si des éléments d’invalidation devaient toujours être incorporés dans les récits les plus sincères afin d’entretenir le doute. De ce fait, le monde scientifique n’estime pas utile d’étudier plus avant le phénomène qui leur semble relever surtout de la pathologie.

Je relisais récemment Carl Jung et son « Flying Saucers, A Modern Myth of Things Seen in the Skies » publié en 1954, et je pense que personne à ce jour n’a surpassé son approche. »

Carl Jung écrivait :

« Le problème de l’existence physique éventuelle des objets volants me parait tellement important que je crois de mon devoir de lancer un cri d’alarme, comme je le fis à l’époque où se préparaient des événements qui devaient frapper l’Europe au plus profond d’elle-même ».

Voilà donc quelqu’un, Terence McKenna, qui a observé un OVNI « de très près » et qui a rencontré des entités d’autres dimensions, mais qui considère qu’il y a très peu d’éléments pour évaluer ce que présente vraiment le phénomène, et qui pense que personne n’a surpassé l’approche du sujet faite par Carl Jung. Evidemment, ce ne sont pas là mes conceptions. Quant à la prétendue absurdité des contacts, elle est subjective (donc propre à la perception des récits par ceux qui en prennent connaissance) et n’est pas nécessairement voulue afin d’entretenir le doute.

Terence McKenna poursuit :

« J’ai tendance à penser que nous ne pouvons correctement aborder le problème des Ovnis, ou d’autres domaines aussi subtils, à cause des restrictions de notre langage. Il serait vain de tenter de rallier un consensus sur le sujet. Nous sommes déjà incapables de nous accorder sur ce qui caractérise un soufflé réussi. Donc je pense que nous passons totalement à côté en tentant de proposer une explication définitive.

Si le phénomène Ovni est une manifestation du superviseur de l’inconscient collectif, nous devrions alors nous demander pourquoi, et comment procède-t-il ? »

Terence McKenna a rendu hommage à Jacques Vallée et à son « système de contrôle spirituel » :

« A part Jung, le seul à mon avis qui ait correctement abordé la question est Jacques Vallée, quand il a écrit :

« Il est moins utile de s’interroger sur la nature du phénomène que de s’intéresser aux effets qu’il produit ; on voit alors clairement que les Ovnis laminent notre foi en la science.

Ils sont un antidote au paradigme scientifique qui s’est développé depuis 400 ans et nous a conduit au bord de la catastrophe mondiale…. »

Il pense qu’il existe dans la structure de la psyché humaine une sorte de « super-ego », un contrôleur supérieur dans la conscience collective, qui est capable d’agir en suscitant des phénomènes qui tendent à rectifier des dérives pathologiques ou mortelles dans la conduite de nos sociétés. Les corrections nécessaires ne peuvent intervenir au niveau personnel ni institutionnel ; c’est alors le niveau supérieur de la conscience collective de l’espèce, comme un dispositif de contrôle, qui fait obstacle aux idéologies destructrices qui se sont mises en place et produit des manifestations capables de les éradiquer.

Pour moi, l’objectif des manifestations Ovnis est de contrer les effets du rationalisme dominant qui entraîne actuellement autant de souffrances, en injectant des éléments capables de le déstabiliser.

Il existe une autre possibilité où le gouverneur supérieur n’aurait pas directement pour rôle de renverser le matérialisme ambiant : il se peut que nous partagions depuis toujours cette planète avec une autre espèce intelligente, qui nous avait longtemps laissés évoluer librement, jusqu’au point où nous commencions à représenter une nuisance. Dans ce cas, les conséquences sont les mêmes que celles évoquées précédemment. »

Carl Jung (décédé en 1962) et Jacques Vallée, les seuls à avoir correctement abordé la question ? Absurde. Consultez, à propos de Jacques Vallée, mon texte (dans la même rubrique) : « OVNIs et paranormal ».

Il n’y a évidemment pas de « super-ego » (sic) ou de contrôleur supérieur dans la conscience collective qui agirait en suscitant des phénomènes, les OVNIs ayant, comme je le développe dans la rubrique « Présence extraterrestre », une triple origine dont deux sont de type extraterrestre (physique et éthérique). Il est donc ridicule de considérer que l’objectif des manifestations d’OVNIs est de contrer les effets du rationalisme dominant ! Quant à l’« autre espèce intelligente », dont la nature n’est d’ailleurs pas précisée, qui évoluerait sur notre planète et pourrait être à l’origine des OVNIs, c’est encore là une spéculation dépourvue du moindre élément concret, à moins d’identifier cette « intelligence » à la troisième catégorie de « visiteurs », ceux qui proviennent du monde intérieur de la planète !

Pour Terence McKenna, une divulgation de la vérité entraînerait un immense chaos dans nos sociétés :

« J’ai abordé cet aspect avec une des entités et elle m’a répondu : « Nous avons préféré que vous pensiez à une invasion aliène, parce que les populations seraient paniquées si nous leur laissions découvrir ce qui se passe vraiment ! » »

Il n’est certes pas question d’« invasion aliène », mais l’origine extraterrestre est néanmoins bien réelle…

« Je dois aussi mentionner la possibilité que ces engins volants ne soient pas des vaisseaux mais des capsules temporelles. Dans ce cas nous serions probablement fascinés de contempler nos très lointains descendants, venus nous porter le message d’un évènement majeur. »

Voici maintenant le mythe des voyageurs temporels. Consultez à ce sujet mon texte (dans la rubrique « Présence extraterrestre ») : « Le problème du non contact. (5). Des voyageurs temporels ? »

Le passage suivant est extrait d’une conférence titrée « Alien love », qui situe le niveau des expériences personnelles de Terence McKenna :

« Ces myriades d’êtres que je rencontrais dans ces séances se métamorphosaient en d’étranges machines, semblables à d’énormes sphères ciselées comme des joyaux, qui leur permettaient de créer des objets en les chantant. »

Les « aliens » se trouvent en ce cas dans un endroit inattendu, « le champ de la conscience, toujours aussi méconnu ».

« Je suis toujours stupéfait que nous nous posions la question depuis 45 ans, sans que personne n’ait encore émis ce genre de proposition : si nous pensons être visités par des formes de vie organiques et intelligentes venues d’une autre dimension ou d’une région de notre galaxie, nous devrions alors examiner très attentivement notre environnement pour y rechercher des traces de leur présence.

Pourrait-on trouver des formes de vie, parmi les millions que nous connaissons, qui ne seraient pas originaires de cette planète ? Il serait possible de lancer une étude comparative de l’ADN. Certains d’entre vous savent déjà ce que j’en pense : les plantes et les champignons qui renferment des substances psychoactives ont les meilleures chances de figurer parmi les envahisseurs extraterrestres dans l’environnement de cette planète. » (T. McKenna)

« Sans le recours aux substances psychédéliques, je pense qu’on ne pourra pas aborder sérieusement la question des Ovnis ; ce serait comme tenter de comprendre la nature de l’univers en se privant d’un bon télescope. » (8)

On peut évidemment aborder sérieusement la question des OVNIs sans avoir recours aux substances psychédéliques ! Ces dernières permettent cependant, parmi d’autres sources (sources « canalisées », récits de certains « contactés »), de prendre conscience de l’existence d’une catégorie particulière de « visiteurs de l’espace », ceux de type extraterrestre/multidimensionnel… Dans mon modèle H.S.P., en effet, certains contacts « psychiques » obtenus avec des substances « psychoactives » sont imputables à un « branchement » de la conscience sur des niveaux de réalité, ou niveaux fréquentiels, distincts du plan physique, sur lesquels résident diverses entités, certaines étant de nature extraterrestre/éthérique.

Dennis McKenna

Un documentaire concernant la DMT contient les interventions de l’artiste peintre Alex Grey, de William Hancock, de Christian Meuli (médecin et volontaire), de Dennis McKenna (PhD, ethnopharmacologue), de Roland Griffiths (PhD, pharmacologue behavioriste), d’Erik Davis et de Ralph Abraham (mathématicien).

Dans la séquence qui lui est consacrée, l’ethnopharmacologue Dennis McKenna commence par tourner en dérision l’objectif et les tentatives du SETI de réceptionner des signaux intelligents dans l’univers :

« Comment peut-on s’imaginer qu’une civilisation extraterrestre extrêmement avancée puisse encore considérer l’intérêt de véhiculer de l’info avec des ondes radio ? Ce n’est pas totalement à exclure, mais il existe bien d’autres façons de passer un message.

Il est possible, par exemple, de l’inscrire dans l’ADN humain, de telle sorte qu’il soit déchiffré uniquement lorsque notre technologie le permettra. Une telle séquence particulière pourrait révéler comment l’usage de la DMT nous conduirait à voir des machines, des vaisseaux, des aliens et leurs cités étranges… »

Il cite le cas très particulier du tryptophane, le plus rare des vingt acides aminés, parce qu’il n’est pas codé de la même manière que tous les autres :

« On peut s’amuser à imaginer qu’il ait été placé dans le code génétique comme un artefact. Ce pourrait être une autre blague cosmique dont la Nature est capable, comme le montrent les expériences avec la DMT : une façon de nous interpeller en nous disant : « Vous comprenez cette fois ? Avez-vous réalisé qu’à deux pas de là il existe une molécule qui vous ouvre d’autres dimensions transcendantes ? » Je ne dis pas que l’ADN humain a été bricolé par des civilisations qui auraient des millions d’années d’avance, mais rien ne permet de l’exclure. » (www.TheSpiritMolecule.com) (9)

Romuald Leterrier

La danse du serpent cover book

Romuald Leterrier est chercheur indépendant en ethnobotanique.

Il mène des recherches pluridisciplinaires mêlant les sciences du vivant aux sciences humaines.

Auteur de « Les plantes psychotropes et la conscience » (éditions Alphée), préfacé par Jan Kounen, il organise le festival des arts visionnaires « Chimeria » qui a lieu, chaque année, à Sedan.

Il est également l’auteur de « L’enseignement de l’ayahasca - Réflexions sur un mode de communication entre les plantes psychotropes et la conscience humaine » (Yvelinédition).

Voici un extrait d’un autre livre de cet auteur, « La danse du serpent » :

« Allongé sur mon matelas, fumant un mapacho |feuille de tabac], je contemplais le spectacle de la nuit. De grosses lucioles virevoltant dans les frondaisons des arbres offraient au regard une vision féérique. Par cette nuit presque sans moustiques à la douceur apaisante, nous primes le verre que nous tendait Diogène. A la façon dont avait été préparé l’Ayahuasca, il fallait vraisemblablement s’attendre à une maréacion très forte. Vigilant et légèrement angoissé, j’essayais de me détendre en contemplant le ciel. Une demi-heure s’étant écoulée et ne ressentant pas les effets du breuvage, je sollicitais à nouveau Diogène pour reprendre un petit verre d’Ayahuasca.

Mon ami Thierry, qui à l’occasion était mon voisin de matelas, m’avait pourtant signalé la forte puissance du breuvage qui venait de le plonger dans une maréacion vertigineuse. Sentant l’angoisse monter, je décidais de garder les yeux ouverts pour échapper un moment au maelström des visions. Mon corps était parcouru de sensations organiques des plus étranges, mais je savais que c’était le signe de l’ivresse. Tétanisé, je m’obstinais à garder les yeux ouverts et à contempler le ciel étoilé. Soudain, le ciel nocturne me paraissait agité par des mouvements étranges.

C’est à ce moment que se produisit un phénomène incroyable. Une des étoiles de la Voie Lactée semblait descendre lentement au coeur de la forêt, à quelques mètres au-dessus de moi. Je décidais de me relever pour m’asseoir. En basculant sur mon côté droit, je perçois cette étoile comme suspendue à un fil de lumière qui la relie à la voûte céleste. Cette vision me fait penser aux images en trois dimensions que l’on voit parfois au cinéma et qui semblent sortir de l’écran pour s’avancer vers vous. L’angoisse me rattrape.

J’ai l’impression d’être trompé, des questions stridentes assaillent ma pensée. La réalité est-elle un mensonge ? Tout n’est-il qu’illusion ? Le doute s’installe en moi. Cette vision aux allures de simulacre essaie-t-elle de me montrer la nature artificielle de l’espace, du cosmos et de l’univers ? La colère monte, et je vocifère à présent contre une intelligence invisible. A côté de moi, Thierry me somme de me calmer. Cette réaction de sa part m’apaise et fait disparaître de ma conscience des questionnements égotiques. Je me détends et décide d’observer sans jugement.

L’étoile continue à descendre vers moi et se stabilise à peu près à trois mètres au-dessus de la cérémonie. Soudain, l’énergie de l’étoile se disperse pour se dissoudre dans l’environnement sylvestre surplombant notre campement de fortune. Des configurations complexes et abstraites flottent à présent au-dessus de moi. Détendu, je m’allonge à nouveau sur mon matelas de mousse.

J’observe avec les yeux d’un enfant le ballet surnaturel. Ces entités sont indescriptibles, éthérées, diaphanes et abstraites, animées de mouvements incessants, ces êtres me font penser à des mandalas énergétiques faits de matière subtile.

Deux formes circulaires surviennent dans mon champ de vision par le côté gauche. Je distingue par intermittence une forme humanoïde se dessiner au centre d’un des « mandalas vibratoires ».

Cet être ou cette chose vient stationner juste au-dessus de moi. Empli d’un sentiment de joie et d’extase, je tends mes bras vers l’entité ; une structure énergétique de petite taille vient de s’extraire avec célérité de cette créature.

Par des mouvements circulaires rapides, celle-ci vient se blottir au creux de ma main gauche. Afin de mieux voir et de mieux comprendre, j’approche de mes yeux ce trésor diaphane. L’observant de très près, je contemple les énergies iridescentes et colorées qui semblent l’animer de l’intérieur. Et puis plouf ! La chose vient de pénétrer à l’intérieur de mon cerveau, provoquant instantanément une cascade de visions d’une célérité inouïe, C’est trop rapide, je n’arrive pas à me concentrer et à apercevoir une image intelligible. J’ai l’impression d’être envahi par une intelligence supérieure qui aurait surestimé mes capacité physiques. Je désire que cela cesse et j’implore humblement que l’on me délivre de cette situation.

Elias semble avoir perçu le trouble qui m’anime, il s’approche de moi et me souffle puissamment sur le sommet de ma tête. Je suis submergé par l’émotion et éclate en sanglots, les visions ralentissent, je vois des astres, des galaxies, j’ai des visions de planètes comme si je survolais à grande vitesse la surface de mondes exotiques. Je ressens soudainement le besoin de me lever, mais la maréacion est si violente que je titube, je vacille, mes organes sont sans dessus dessous. Secoué par une violente nausée, je m’éloigne pour vomir. Je finis laborieusement par rejoindre mon matelas. Le dispositif est toujours présent !

L’étoile est toujours là, à quelques mètres au-dessus du sol, et les entités continuent de flotter autour de nous. Il se produit alors un nouveau phénomène. Les entités semblèrent se déliter dans un réseau de points lumineux. Ceux-ci évoquaient à présent une sorte de matrice, un maillage, comme un filet énergétique. Puis, subitement, celui-ci disparut vers le ciel. Simultanément, l’étoile amorça un mouvement d’ascension pour très rapidement reprendre sa « place » au sein de la Voie lactée. »

Sur le site ovnis-usa.com, on lit :

« Ce court emprunt à « La Danse du Serpent », de Romuald Leterrier, dix ans après la publication de son « Enseignement de l’Ayahuasca », contribue à montrer que tous les phénomènes « Ovnis » et contacts avec d’autres entités ne sont pas nécessairement réductibles à l’hypothèse « tôle & boulons ».

Il reste à se demander si d’autres manifestations, qui semblent « tangibles », pourraient émaner de régions méconnues de la conscience. »

L’observation est juste, mais j’en ai donné l’explication dans ce texte (comme dans d’autres textes, notamment ceux concernant la critique de la théorie de Jean Sider) : les manifestations « alienes » ont deux origines extraterrestres, l’une de type 3 D (donc, de type « tôles et boulons »), l’autre de type éthérique ou multidimensionnel.

A noter que, le 19 juillet 2011, Romuald Leterrier s’est entretenu avec Marie-Thérèse de Brosses, à l’antenne de« Radio Ici & Maintenant ! ».

Lire aussi : Les cristaux de la glande pinéale nous connectent à l’au-delà

Notes :

1. Jean Sider, « Percées dans le paranormal : des preuves scientifiques », seconde partie, « Parasciences », n° 78, été 2010, p. 31-37.

2. Michel Coquet, « Le troisième œil », éditions Alphée, 2008, p. 166.

3. Ibid., p. 160.

4. Ibid., p. 163, 9.

5. Anne et Daniel Meurois-Givaudan, « De mémoire d’Essénien », éditions Arista, 1984, p. 85.

6. « 2011. Devenir », éditions Ariane, 2010, p. 250-253.

7. Patricia Cori, « Le Haut Conseil de Sirius », éditions Ariane, 2007, p. 104-107.

8, 9, 10. www.ovnis-usa.com

Comment régénérer ces deux glandes essentielles …

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Une Réponse »

  1. COMMENT DÉTARTRER NOTRE GLANDE PINÉALE

    La glande pinéale pourrait être la partie la plus importante de notre système nerveux tout entier.

    Il s’agit essentiellement d’une antenne spirituelle, l’équivalent physique d’un troisième œil.

    Il est essentiel pour atteindre des niveaux plus élevés de conscience tout en restant dans un corps physique.

    La calcification fait en sorte que les cristaux dans la glande s’attachent aux dépôts de minéraux.

    Ainsi, les cristaux ne peuvent plus exercer leur propriété de piézoluminescence.

    Les effets de la calcification sont la dépression, l’anxiété, la boulimie/anorexie, la schizophrénie et d’autres formes de maladies mentales.

    La calcification vient aussi perturber la sécrétion de la mélatonine.

    La mélatonine, souvent dénommée hormone du sommeil, est surtout connue comme étant l’hormone centrale de régulation des rythmes chrono-biologiques, et d’un certain point de vue, de pratiquement l’ensemble des sécrétions hormonales.(…)

    Elle est sécrétée par la glande pinéale en réponse à l’absence de lumière.

    La mélatonine semble avoir de multiples fonctions, autres qu’hormonales, en particulier comme antioxydant (anti-cancer).

    Elle semble aussi jouer un rôle dans le système immunitaire.

    Dans l’image ci-dessous, on voit le dieu ailé sumérien Enki avec un cône de pin dans la main.

    On retrouve dans beaucoup de cultures la symbolique du cône de pin représentant la glande pinéale (siège de l’âme).

    Vatican

    La calcification de la glande pinéale est causée principalement par le fluorure qui circule dans notre sang.

    Le fluorure vient des pâtes à dents, de l’eau du robinet et de l’eau en bouteille, dans certains aliments, des médicaments psychotropes comme le prozac qui est aussi appelé fluoxétine et qui contient 30% de fluorure.

    La glande pinéale contient la plus grande concentration de fluorure dans le corps.

    Calcification

    Malheureusement la plupart des gens ont une glande pinéale qui est fortement entartrée, tant et si bien qu’elle apparait comme un morceau de calcium pendant une IRM, alors, quelle est de la calcification.

    Quelles en sont les causes?

    La calcification est l’accumulation de cristaux de phosphate de calcium dans diverses parties du corps. C’est un processus naturel causé par les nanobactéries primaires. Ces nanobactéries sont des microorganismes qui forment de minuscules coquilles de phosphate de calcium autour d’eux, essentiellement pour se protéger de notre système immunitaire. Il ressort de la dernière recherche, que cela peut être la cause de la plupart des maladies. De l’arthrite, aux accidents vasculaires cérébraux, du cancer aux maux de dos.

    A cause de l’horrible système alimentaire SAD (régime standard américain), la plupart des gens exposent leurs organismes beaucoup plus que jamais, et que non seulement, sont calcifiées par d’autres moyens aussi.

    Eau, alimentation et mode de vie

    Les principales causes de calcification comprennent:

    Fluorure (magnétiquement attiré par la glande pinéale où il forme des cristaux de phosphate de calcium plus que partout ailleurs dans le corps). Les suppléments de calcium (de loin la principale cause de la calcification, ils n’ont pas vraiment fonctionné non plus.

    Si votre intention est d’en prendre, je vous recommande de les arrêter immédiatement)

    D’autres halogénures comme le chlore et le bromure (semblable en vigueur au fluorure)

    Le calcium dans l’alimentation (presque tous les aliments transformés contiennent une certaine forme de calcium.

    Que ce soit le phosphate de calcium, carbonate de calcium, phosphate dicalcique ou autre chose.

    De nombreux compléments contiennent ces charges.

    L’eau du robinet est rempli avec des substances calcifiantes.

    L’eau de source est absolument le meilleur choix mais celle distillée peut être nocive à long terme (même si c’est beaucoup mieux que celle du robinet. Voici un étonnant site les codes des différents ressources naturelles dans votre région où vous peut trouver de l’eau libre http://www.findaspring.com.

    J’ai eu un succès étonnant avec la décalcification, cela a totalement changé ma vie, et c’est très puissant. Certaines grandes méthodes incluent :

    Blue Ice Skate huile de foie de morue fermentée ou de l’huile de foie de chimère ce qui est encore mieux (la chose la plus puissante que j’ai jamais prise pour décalcification, quand je l’ai pris, je me suis littéralement senti comme s’il n’y avait plus de crasse dans mon 3ème œil qui fut emporté. Il contient une substance très puissante appelée l’activateur « X » découverte par Weston Price.)

    Une alimentation bio contient beaucoup plus de cet activateur “X” plus connu sous le nom de vitamine K2* qui semble être l’ingrédient clé.

    De plus, c’est un anticoagulant et favorise un bonne fluidité du sang.

    Sachant qu’une très grande quantité de sang passe par la glande pinéale et que les globule rouge sont magnétique, nous en comprenons alors cette l’importance.

    Des chercheurs ont montré que la prise de suppléments de vitamine K2 ralentit la progression de la calcification cardiovasculaire ou réduit la perte d’élasticité des artères.

    Le Natto japonais

    Le Natto est la pâte de soja fermentée que les Japonais consomment au petit-déjeuner. Traditionnellement, ils le préparaient en enveloppant des haricots de soja bouillis dans des feuilles de riz.

    Le natto japonais est non seulement l’aliment le plus riche en vitamine K2, mais aussi celui qui contient la forme de vitamine K2 la plus performante.

    On trouve également l’activateur “X” donc de la vitamine K2, dans les œufs et les produits carnés de provenance biologique.

    L’artériosclérose, responsable des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux, pourrait également être éliminée, et la fonction pinéale grandement améliorée par la diminution de sa calcification.

    MSM (Méthylsulfonylméthane)

    Démarrer à une dose confortable et commencer vottre traitement jusqu’à 7 à 10 000 mg par jour, dès que possible.

    Cela commence vraiment à travailler avec cette dose, bien que des doses plus faibles sont encore bénéfiques.

    Très puissant pour la désintoxication générale, et les cheveux, la peau, ongles, le renforcement des os aussi.

    L’acide citrique* - BEAUCOUP de citrons fait ce travail. (Vous pouvez aussi acheter simplement de l’acide citrique)

    L’Ail * - Prenez environ une une à deux gousses par jour ou plus pendant un certain temps, si vous l’écraser et faire tremper dans du vinaigre de cidre de pomme ou de premières jus de citron frais il le désodorise. Assurez-vous que vous mettez le jus dans une salade ou quelque chose plus tard.) Décalcification plus rapide avec du vinaigre de cidre * Contient de l’acide malique. Prenez en beaucoup et assurez-vous que c’est brut, car c’est très important.

    Le Sungazing (en regardant le soleil pendant les 15 premières minutes du lever du soleil et les dernières 15 minutes du coucher du soleil fera des merveilles pour votre glande pinéale).

    Chantez “Thoh” * (dites Thoooh, avec les OH prononcé comme l’orteil, au milieu de ces trois fois, puis attendez 24 heures et le faire à nouveau trois fois, puis attendez 24 heures et le faire encore. Ceci est très puissant).

    Le générateur de champs magnétiques pulsés.

    Pourquoi un tel générateur ?

    Parce que les cellules humaines sont des petites usines électromagnétiques ; de par leur structure de pile : noyau alcalin (+), cytoplasme (-), leur membrane est un véritable petit condensateur capable de stocker de l’électricité. (…) un apport de magnétisme extérieur améliore le voltage cellulaire, et par là même, les réactions vitales, ainsi que la perméabilité des membranes. http://www.therapiesquantiques.com/aimants_sante.html

    Lorsque la glande pinéale reçoit des informations électromagnétiques et magnétiques de l’environnement, non conformes au schéma naturel, elle ne sécrète plus le flux normal d’hormones parmi lesquelles figure la mélatonine et le stress décrit ci-dessus apparaît avec sa cascade de conséquences.

    Les champs magnétiques pulsés (CMP) stimulent des facultés de méditation, de la créativité, des capacités cognitives, des capacités d’apprentissage, de la mémoire à long terme, de la mémoire à court terme, des capacités d’assimilation, de la capacité de concentration.

    Le générateur CMP TINY-Scan Two

    Il y a beaucoup d’autres façons de détartrer ainsi. Cela devrait vous donner quelques idées.

    Les “*” indiquent qu’elles doivent être prises avec au moins une des autres choses que j’ai mentionné pour un effet garanti.

    Mais le meilleur moyen d’éliminer la calcification est un régime alimentaire sain.

    Si l’on boit beaucoup d’eau purifiée et revitalisée, nous aidons notre foie et nos reins à éliminer les toxines.

    Manger des aliments biologiques crus et frais nous assure d’éviter d’avoir des pesticides et des agents de conservation chimiques qui s’accumulent dans notre organisme qui entrainent la formation de dépôts minéraux.

    A suivre …/…

    Source qui entre autre, m’a inspirée : http://www.squidoo.com/how-to-decalcify-your-pineal-gland

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