ALAN WATTS : ” AMOUR & CONNAISSANCE “

Par Sam's • 7 avr, 2015 • Catégorie: ARCHIVES, ARTS ET LITTÉRATURE, LES PLUS POPÜLAIRES, LUMI-NEWS, R-ÉVEIL

ALAN WATTS

“Man, Woman and Nature”

Toute notre civilisation occidentale issue du christianisme est fondée sur les oppositions arbitraires de l’homme et de la nature, du « moi » et de l’autre, de l’amour et de la connaissance, du bien et du mal. Elle conduit à un dessèchement de l’âme. Pour sortir de l’impasse actuelle, c’est un retour aux sources que propose le philosophe Alan Watts.

Publié aux États-Unis en 1958 sous le titre Nature, Man and Woman, cet essai reste étonnamment actuel. En un style alerte, incisif, plein de poésie et d’humour, l’auteur dénonce un certain nombre d’oppositions arbitraires qui ont fondé la civilisation chrétienne : ” moi ” et l’autre, bien et mal, amour et connaissance, et surtout esprit (masculin) et nature (féminine) - cette dernière faille étant reliée à toute une problématique sexuelle.

A cette conception dualiste, rigide et agressive à la fois envers la femme et envers la nature, Alan Watts substitue la vision souple, unitive, globale des sages d’Extrême-Orient, qui privilégient l’art de sentir, la spontanéité, ” la joie intense qui accompagne la révélation que nous sommes éphémères et transparents “. Il ouvre ainsi la voie d’une écologie authentiquement spirituelle ainsi que d’une sexualité contemplative, généreuse, source possible et expression d’Éveil (source de l’intro).

Le livre est à nouveau édité en français aux éditions Almora qui publient d’autres livres intéressants sur le thème de la spiritualité

Extraits :

NATURE

“Il apparaît de plus en plus que nous ne sommes pas placés dans un monde morcelé. Les grossières divisions entre esprit et nature, âme et corps, sujet et objet, sont de plus en plus considérées comme des fâcheuses conventions de langage. Ce sont des termes boiteux qui ne s’appliquent plus à un univers où tout est en interdépendance, un univers qui se présente comme un vaste complexe de relations subtilement équilibrées.

La nature a un caractère intégralement relationnel, et une interférence en un point déclenche d’imprévisibles réactions en chaîne.”

“Au centre de cette nouvelle manière d’envisager les choses, on trouve l’idée d’un monde unitaire sans le moindre raccord, tissu d’interactions mutuelles, où une chose ne se comprend que rapportée à une autre et réciproquement. Il est impossible, dans cette perspective de considérer l’homme isolément de la nature.”

“Dans cette nouvelle façon de penser, esprit et matière se résolvent en processus, tandis que les choses se trouvent changées en évènements.

La découverte de notre totale imbrication avec la nature est d’une telle portée que la compréhension du nœud de relations revêt une importance primordiale, qui impliquerait de comprendre la nature “de l’intérieur”.

“La conscience d’une solidarité indissoluble de l’homme avec la nature peut être accablante pour certains. Elle apparaît humiliante à une civilisation où l’homme a toujours été considéré comme le couronnement de la création et son “maître et possesseur.”

“L’Occident professe une philosophie tournée vers le futur, mais son attitude effective est en contradiction avec cet idéal. Sa vue ne porte guère au-delà du lendemain puisqu’il exploite les ressources terrestres (et modifie l’environnement) avec une connaissance très fragmentaire du réseau de relations ainsi déséquilibré.”

 

SÉPARATIONS

“C’est pour la civilisation occidentale une idée fixe que l’univers consiste en choses distinctes, ou entités. L’homme se considère de ce fait lui-même comme une partie, introduite dans l’assemblage total de la nature. Le fonctionnement de l’univers naturel est conçu en terme de lois logiques; l’ordre des choses est assujetti à la mécanique linéaire d’une série de causes et d’effets, dans les limitations d’une conscience qui ne perçoit qu’une seule chose à la fois.

Si la nature nous semble être un mécanisme, c’est que notre attitude mentale n’en retient que ce qui concorde avec une analogie mécanique ou mathématique. Une telle attitude empêche de jamais voir la nature, elle n’aperçoit que les formes géométriques qu’elle a réussi à y projeter.”

“Nous comprenons la nature en la désintégrant, puis nous pensons qu’elle est elle-même un amas de fragments.”

“On tend à considérer actuellement les lois comme des outils humains, un peu comme des instruments tranchants permettant de dépecer la nature en portions susceptibles d’être digérées.”

“Il est un type d’homme qui aborde le monde tout bardé de ces instruments durs et tranchants, au moyen desquels il découpe et catalogue l’univers en catégories précises et stériles afin de se rassurer.”

“Une fois dotés du pouvoir de raisonner et d’exercer consciemment notre attention, les hommes furent certainement fascinés par ces nouveaux outils, au point d’en oublier tout le reste, un peu comme ces poules hypnotisées qui ne peuvent détacher leur bec d’un trait de craie. Toutes nos possibilités de perceptions furent identifiées à ces fonctions partielles, si bien que nous perdîmes la capacité de sentir la nature du dedans et de percevoir notre unité sans faille avec l’univers.”

 

INTELLECT

“Le mode analytique de perception nous masque le fait que les choses et les évènements n’existent pas indépendamment les uns des autres. Le monde est une totalité supérieure à la somme de ses parties pour la raison même que ces parties ne s’additionnent pas mais sont une corrélation. La totalité est une structure qui subsiste, tandis que vont et viennent les parties, tout comme le corps humain est une structure dynamique dotée de permanence, malgré la rapidité avec laquelle naissent et meurent les cellules.”

“Les mots et les moules de pensée du mode de pensée analytique sont impuissants à embrasser ce monde de relations, sauf par des analogies qui ne sont jamais entièrement satisfaisantes. Admettre que les éléments fondamentaux de la nature sont des “relations” plutôt que des “choses” peut paraître terriblement subtil et abstrait tant qu’on ne s’est pas aperçu que les relations sont celà-même que nous touchons et sentons, et qu’il n’y a rien de plus concret.”

“Comprendre la nature avec la pensée analytique, c’est comme vouloir distinguer les contours d’une grotte avec un pinceau de lumière intense, mais très mince. Le trajet de la lumière et la série de ses points d’impact sont retenus par la mémoire, et l’aspect général de la grotte laborieusement reconstitués à partir de souvenirs.”

“L’étude analytique de ces interactions accumule une somme croissante d’informations que leur abondance et leur complexité rendent” difficiles à utiliser en vue de prévoir précisément les changements.”

“La démarche linéaire de l’intellect lui interdit de comprendre vraiment un système de relations où tout se passe simultanément. Il parvient tout au plus à se le représenter approximativement.”

“Ce mode de conscience sériel ne peut considérer qu’une pensée et une chose à la fois.”

“Pour saisir de grands ensembles, l’homme se voit donc obligé de recourir à l’intuition.”

“L’intuition s’appuie sur une démarche inconsciente de l’intelligence qui ne procède plus de façon laborieusement linéaire, et se montre capable d’embrasser d’un seul coup de vastes champs de détails en mutuelle interaction.”

IDENTITÉ

“Le mode de pensée analytique ayant pour support les mots, nous a donné l’habitude, pour définir quelque chose, d’énoncer ce qui la distingue et la rend “caractéristique”, bref ce qui définit son identité. Si bien que l’on s’accoutume à penser qu’une identité est une question de séparation, par exemple que mon identité réside en la manière particulière dont je diffère des autres, soulignant la différence comme étant l’essentiel.

Dans ces conditions, le monde m’apparaît comme une chose avec laquelle je dois ÉTABLIR une relation, et non comme une chose avec laquelle J’AI une relation.”

“[De la même façon, nous nous concevons] scindés en deux parties: un centre bien délimité d’attention, “je”, et un vaste et complexe organisme, “Moi”, dont la connaissance que nous en avons oscille entre des sentiments confus et la technicité abstraite des notions biologiques. L’homme façonné par la culture occidentale est étranger à lui-même, ainsi qu’au milieu naturel dont fait partie son organisme.

“L’étroitesse de la conscience et son mode sériel de stockage des impressions dans la mémoire, tels sont les moyens qui nous permettent d’avoir le sens d’un Moi. Si le Moi s’évanouissait, ou plus exactement, s’avérait n’être qu’une fiction utile, il n’y aurait plus dualité sujet-objet, mais simplement un courant de perception continu.”

“En vérité, c’est pour la pensée seulement que la peau sépare le corps du reste du monde. Pour la nature, la peau est agent de liaison autant que de séparation.”

 

EGO

“Le Moi est une image sociale à laquelle l’esprit apprend à d’identifier. Il est le rôle que la société prescrit à l’individu afin de pouvoir tabler sur un centre d’action stable dont on peut prévoir le comportement parce qu’il oppose une résistance inébranlable aux mouvements de la spontanéité. Une extrême souffrance ou l’imminence de la mort l’empêchent de tenir ce rôle, si bien que ces fatalités s’associent à la honte et aux angoisses endurées par l’enfant que nous fûmes lorsqu’il s’agissait de devenir un Moi acceptable pour autrui. La mort et l’agonie sont redoutées comme une déchéance, et le combat qui les accompagne est un effort désespéré pour tenter de sauver un mode de sentir et d’agir acquis comme un rang social.”

“La fascination qu’exerce la certitude de la mort peut nous laisser figés de stupeur, jusqu’au moment où une illumination nous révèle que ce n’est pas la conscience qui meurt, mais la mémoire. S’ouvrir à cette vérité, c’est s’ouvrir à un singulier sentiment de solidarité -d’identité- avec les autres créatures et commencer à comprendre le sens de la compassion.

Le Moi lutte sans relâche contre la dissolution qui serait justement sa délivrance.”

“On pourrait concevoir la délivrance comme l’ultime profondeur de l’échec spirituel, un degré d’échec où l’on ne peut même pas revendiquer ses vices. Dans la conscience de cette réalité momentanée et vide, le Bodhisattva connaît un désespoir au delà du suicide. L’Ego s’évanouit avec les illusions où l’on ne rencontrait que vide dans sa résistance acharnée au vide, souffrance dans sa fuite devant la souffrance, et contraction dans son effort pour se décontracter. Mais en s’évanouissant, il s’abandonne au vide même où resplendissent le soleil, la lune, et les étoiles.”

“La spontanéité n’est somme toute qu’une totale sincérité -la personne étant toute entière dans son acte sans la moindre réticence- à laquelle l’adulte civilisé n’est guère poussé que par un désespoir extrême, une souffrance intolérable, ou l’imminence de la mort. D’où le dicton: “le désastre de l’homme est l’occasion de Dieu”.

 

SPONTANÉITÉ

“La spontanéité des petits enfants, incontestablement rebelles à une intégration sociale, est une spontanéité “embryonnaire”, encore incoordonnée. Il parait alors impensable de socialiser ces enfants en permettant à cette spontanéité de se développer, et l’on cherche à les intégrer socialement en implantant tout un système de résistances et de peurs.

L’organisme se trouve alors scindé en un centre de décision, et un centre d’inhibition. Aussi est-il rare de rencontrer une personne dotée d’une spontanéité qui se contrôle elle-même, cette formule nous semblant du reste complètement contradictoire. C’est comme si nous apprenions à nos enfants à marcher en soulevant leurs jambes avec les mains, au lieu de les mouvoir de l’intérieur.”

“Lorsque nous disons d’un pianiste ou d’un danseur qu’il contrôle parfaitement ses mouvements, nous nous référons en vérité à une certaine combinaison de contrôle et de spontanéité. Le contrôle de l’artiste définit une zone à l’intérieur de laquelle il peut s’abandonner sans réserve à sa spontanéité.”

“Tous les arts comportent des règles jusqu’à un certain point, (…) mais il subsiste toujours cet indéfinissable qui distingue la vraie maîtrise.”

“La spontanéité est parfaite lorsqu’elle ne requiert aucun contrôle, lorsque le dedans est si harmonieux qu’il ne requiert pas la surveillance de la conscience.”

“Contrôler, c’est inhiber, et un système entièrement inhibé est bloqué.”

“Loin d’être une force, la dureté et la dureté rigidité masculine que nous affectons ne sont rien d’autre qu’une paralysie émotionnelle. Nous nous cramponnons, non parce que nous sommes maîtres de nos sentiments, mais parce que nous en avons peur, comme nous avons peur de tout ce qui, en nous, est symbole de féminité et d’abandon.”

“Celui qui connaît la virilité mais contient la féminité
deviendra un bassin où s’accumule toute la force du Monde
Comme il est un bassin pour le Monde, il ne sera pas séparé de la force éternelle,
Et ainsi il peut retourner à l’état de l’enfance.

Tao Te King, XXVIII

RELIGION

“Pour agir ou nous développer de façon créatrice, il nous faut commencer là où nous sommes, mais “tout entiers”, sans réserve et sans regret. Faute d’acceptation de soi, nous sommes en divorce perpétuel avec notre point de départ, toujours en train de nous méfier du terrain sur lequel nous nous tenons, si divisés contre nous-même que nous ne pouvons agir avec une authentique sincérité. En dehors de cette acceptation, conçue comme fondement de la pensée et de l’action, toute tentative de discipline morale ou spirituelle demeure le combat stérile d’un esprit scindé et de mauvaise foi.”

“C’est ainsi que nous arrivons à nous accepter nous-mêmes par délégation, par l’entremise d’un Dieu libéralisé dont l’amour et le pardon sont infinis. C’est Lui qui nous accepte totalement et non pas directement nous-mêmes. Il arrive aussi que nous nous concédions le droit de nous accepter, mais à condition d’en avoir payé le prix en subissant une discipline écrasante ou en franchissant une série d’obstacles spirituels. Après quoi, l’acceptation est encore fortifiée par l’autorité collective d’une confrérie d’initiés représentant quelque tradition vénérable.”

“L’illumination, ou accord conscient avec le Tao, ne peut survenir aussi longtemps qu’on la considère comme un état particulier pour lequel il existerait critères et normes. L’illumination, c’est d’abord la liberté d’être le raté que l’on est.”

 

VIVRE

“La liquidation de prémisses erronés n’est accordée qu’à ceux qui descendent jusqu’aux racines de leur pensée pour en découvrir la nature.”

“L’essence du cercle vicieux consiste à poursuivre ou fuir un terme inséparable de son opposé, à une vitesse qui s’accélère de plus en plus tant qu’on n’a pas perçu la solidarité des deux termes.”

“Ainsi, fuir la douleur et poursuivre le plaisir reviennent à une seule et même attitude contractée de la conscience.”

“Nous voyons dans les sentiments négatifs un désordre de l’esprit justifiable de soins appropriés. En vérité, ce qui appelle des soins est la résistance intérieure à ces sentiments, la résistance qui nous précipite dans l’action pour essayer de les supprimer, au lieu d’attendre que le sentiment s’en aille de lui-même.”

“L’esprit ne cesse de faire des efforts: pour chasser l’ennui quand il est déprimé, pour calmer une peur, pour tirer le maximum de plaisir, pour s’obliger soi-même à être plein d’amour, de patience, d’attention. Il se donne même de la peine pour être heureux. Et lorsqu’on lui dit qu’il fait fausse route avec tant d’efforts, il s’efforce alors de ne pas s’efforcer!”

“De même qu’il est parfois nécessaire de se taire pour entendre ce que les autres ont à dire, la pensée elle-même doit faire silence pour pouvoir penser à autre chose qu’à elle-même.”

” Le mystère de la vie n’est pas un problème à résoudre, mais une réalité à éprouver.”

SATORI

 

” Nous sommes un faisceau ou une collection de différentes perceptions qui se succèdent avec une inconcevable rapidité, et qui sont dans un flux et un mouvement perpétuel.”

“Parce que rien ne l’enraie, le cours des émotions acquiert une qualité particulière de liberté, ou “vacuité”, que les Taoistes et les Boudhistes nomment “absence d’égo”, “non-mental”, où les réactions naturelles se succèdent sans entraves, “comme un bouchon flotte sur un cours d’eau.”

“Donner libre cours au sentiment, c’est l’observer sans interférence, le considérer sans le nommer; c’est reconnaître que sa mobilité interdit de le comprendre en termes statiques, ce qui exclut également de le juger selon le bien et le mal.”

“Considérée de cette façon, la complexité déconcertante de la nature devient une danse, sans autre but que les figures exécutées. Pris dans l’illusion du temps et de la finalité, la danse et le rythme extatique des choses sont masqués, et apparaissent comme une chasse éperdue, une lutte contre le retard et l’obstacle. Une fois reconnu le non-sens ultime de cette chasse, l’esprit s’apaise et perçoit le rythme du cosmos; il découvre que l’intentionnalité (intemporelle) du processus atteint sa fin à chaque instant.”

“Lorsque l’esprit glisse à son insu dans une attitude réceptive, il lui arrive d’être gratifié d’une perception “magique” du monde.
Les impressions affectant les esprits agités et perpétuellement en quête de quelque chose se trouvent malheureusement brouillées par la vitesse à laquelle elles sont reçues, si bien que le rythme des formes du monde passe inaperçu, et que ses couleurs paraissent plates et sans irradiation intérieure.”

“L’existence du sage est une vie qui s’abandonne sans calcul au présent.”

“Au moment même où l’on veut saisir l’instant qui passe afin d’en tirer quelque chose, celui-ci semble nous échapper.
Quiconque cherche à tirer quelque chose de son expérience présente s’en trouve séparé par là-même: il est sujet, et elle objet. Il ne voit pas qu’il EST cette expérience, et que s’efforcer d’en tirer quelque chose revient à se poursuivre soi-même.”

“Bien que toute chose retentisse dans l’esprit, l’esprit devrait rester comme s’il n’avait jamais résonné aux choses, et celles-ci ne devraient pas demeurer en lui.”

“Le point le plus élevé que l’homme puisse atteindre est l’étonnement. Lorsqu’un phénomène originaire suscite en lui cet étonnement, il doit s’estimer satisfait. Rien de plus grand ne peut lui être accordé, il ne saurait chercher au-delà.”

“Définir signifie fixer et, en dernière analyse, la vraie vie n’est pas fixe.”

Source et grand merci à SYTI.NET

Alan Watts: L’Homme et la Nature

Première partie du premier épisode de l’émission “Eastern Wisdom and Modern Life”, pour la National Educational Television, durant les années 1959 et 1960. Pour cette émission, Alan Watts enregistra une série de vingt-six cours. Néanmoins, ils sont devenus extrêmement rares, aujourd’hui ; ainsi j’espère que ces traductions contribueront à la perte de cet attribut fort malheureux.

Des Choses et des Pensées

 VOUS N’AVEZ PAS À AVOIR PEUR DE LA VIE

Petits films inspirés par Alan Watts

CE QUE TU ES RÉELLEMENT

Sommes-nous prêt à nous réveiller ?

THÈMES ASSOCIES :

Le Tao, philosophie de l’équilibre

 

Un voyage visuel dans les principes du Tao, avec des extraits du “Tao Të King” de Lao Tseu.

Spiritualité, la voie orientale

 

L’essence des spiritualités orientales, hindouisme, bouddhisme et taoïsme, par le physicien Fritjov Capra dans son livre “le tao de la physique”

Equilibre, la métaphore du surf

 

Le surf vu comme une métaphore de la vie et de l’équilibre intérieur qui rejoint le Tao, en même temps que la chimie des émotions et l’homéostasie, principe commun à toute vie.

Le Tao du Surf


L’équilibre, l’unité intérieure, l’harmonie avec la nature, et le sens de la vie, vus à travers le Surf et la philosophie du Tao.
Extraits des dialogues du documentaire TV avec Jacques Mayol, Pierre Mayol, Moebius, Joël de Rosnay, Robert Dantzer, Yves Bessas.

Illumination

 

Le satori du physicien Fritjov Capra, percevant la “danse cosmique” des éléments et de la matière.

 Unité du monde

 

L’unité fondamentale de l’univers et de la matière, avec la métaphore de l’océan, par Stanislas Grof.

Dreamtime

 

L’essence du Dreamtime, la philosophie mystique des aborigènes d’Australie, avec le livre-récit de Marlo Morgan: “Message des hommes vrais au monde mutant”.

Spiritualité et cosmologie

 

L’univers, l’équilibre, et la sagesse selon la Bhagavad-Gita, texte sacré indien.

Légende hindoue

 

Une légende hindoue répond à l’éternelle question de l’homme: où trouver Dieu?

Énergie intérieure

 

Notre énergie mentale ne dépend pas tant de la réalité que de la façon dous nous percevons et nous représentons cette réalité. Nous voyons le monde à travers le filtre coloré de notre état de conscience du moment.

Les chemins de l’intelligence

 

L’intelligence dépend de notre aptitude à utiliser pleinement les possibilités de notre esprit. Voici donc quelques clés pour devenir “plus intelligent”…

Espace de méditation

 

Un espace de méditation avec des mandalas et quelques maximes de sagesse métaphysique.

Bibliographie

Quelques livres initiatiques pour répondre à quelques questions essentielles:
D’où venons-nous? Qui sommes-nous? Où allons-nous?

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